पृष्ठम्:Chézy - La Reconnaissance de Sacountala.djvu/२२३

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NOTES DU PROLOGÜE. Comment Jones a-t-il pu traduire ces mots par : the sacrifice ü performed wüh solemnity; qui pourrait jamais deviner qu’il s’agit là d’une forme de la Divinité dans la personne du prêtre ! ! Tout ce morceau, en général, manque chez lui du mouvement propre à une invocation, et tombe sans aucun effet. J’ajouterai ici ce sloca, que je lis sur une deA feuilles de rebut .qui setrent de garde au mapuscrit, et qui, sauS douté , est tiré de quelque pàw'dnà : fftq rm: fgïïTkO Voyez aussi le Bhagavad-guüà, lect. v», si. 4» et lect. ne, si. i6.

non s > L. 4 s iff. } €«tc ei- pKcatitm ne me semble jeter que peu de jour sur çé passage; dans lequel la négative R me parast surtout fort embarràssàntè, tombanty ébmme elfo le foit> sur le verbe MrUHMWiR » synonyme de [gg|chf^jH] Après une fort longue étude, je ne trouvai d’autre moyen-(fiip-de.tratbnre R pnr ce/tej, penowenc... et je me suis arrêté à ce, sens ; que je ne donne cependant pas pour certain : « En fait de finesse dans l’art théâtral, certek personne ne pourrait mé¬ connaître le mérite de notre directeur. » Voici, au surplus, la traduction de Jones : Who, sir, caald he inatténtive to an entertaînement so weü intended. Le lecteur choisira ou pourra chercher un autre sens, tel, peut-être, que celui-ci : « Qui ne rivaliserait de zèle dans son art, ou mieux, dans son rdle , pour fàire honneur à notre directeur ! » Digitized by Google